L’eau vivante près de la mer morte

• Par [email protected]
• 16 mars, 2022

La terre biblique d’Israël se trouve à proximité du plus grand mirage du monde, donnant une illusion que la vie existe là où il n’y en a pas. Cette situation a obligé ses habitants à mener la quête de la substance indispensable et vitale : l’eau. L’eau constitue également une base importante pour la sagesse, les espoirs les plus fous et les promesses les plus extravagantes de la Bible. Ces promesses s’étendent à vous et vous offrent une vie satisfaisante. Toutefois, pour comprendre cela, nous devons voir ce que les habitants de cette région ont dû apprendre à faire à cause de l’eau.

La mer morte, un lieu unique

La mer Morte est l’élément géographique le plus important de la terre d’Israël. Elle est située à l’altitude la plus basse de la planète, à 431 m au-dessous du niveau de la mer, au milieu d’un désert. La présence d’une masse d’eau aussi belle et aussi importante au milieu d’une terre aride semble être une grande chance pour les habitants de la région. Cependant, avec une teneur en sel de 35 %, il s’agit du plus grand lac hypersalin permanent au monde. Il n’abrite donc aucune vie, d’où le nom de mer Morte. Il est interdit de boire cette eau. Le simple fait d’en mettre dans les yeux ou sur des plaies ouvertes provoque une irritation extrême.

La Bible mentionne la mer Morte pour la première fois dans les récits d’Abraham, il y a environ 4 000 ans. La mer Morte a servi de toile de fond à tous les écrivains, rois et prophètes qui se sont succédé tout au long de l’histoire biblique, à quelques kilomètres seulement de Jérusalem. Ces écrivains ont utilisé l’eau, une nécessité de vie ou de mort dans cette région, pour illustrer des vérités sur nous-mêmes. Ils ont utilisé l’eau comme thème pour nous faire des promesses.

Jérémie fait le diagnostic de notre soif

Jérémie a vécu à la fin de la période des rois (600 avant notre ère), alors que la corruption et le mal s’étendaient dans la société israélite. Il a dénoncé leurs méfaits, les mêmes que ceux que l’on retrouve aujourd’hui dans nos sociétés. Mais Jérémie a commencé son message par ceci.

 Car mon peuple a commis un double péché:
Ils m’ont abandonné, moi qui suis une source d’eau vive,
Pour se creuser des citernes, des citernes crevassées,
Qui ne retiennent pas l’eau.

Jérémie 2:13

Jérémie a utilisé l’eau comme métaphore pour les aider à mieux comprendre le péché. Il a déclaré qu’ils étaient comme des gens assoiffés qui cherchent de l’eau. Il n’y a rien de mal à avoir soif. Mais ils avaient besoin de boire de la bonne eau. Dieu lui-même était la bonne eau vivante qui pouvait étancher leur soif. Cependant, au lieu de venir à lui pour étancher leur soif, les Israélites se sont tournés vers d’autres sources, des sources fuyantes, pour s’abreuver. Mais leurs citernes brisées ne pouvaient pas retenir l’eau à long terme et les laissaient donc encore plus assoiffés.

En d’autres termes, leur péché, sous toutes ses formes, pourrait se résumer à se tourner vers d’autres choses que Dieu pour satisfaire leur soif. Mais ces autres choses ne seraient pas en mesure d’étancher leur soif, tout comme on ne peut pas compter sur une tasse brisée par le bas pour se rafraîchir continuellement. Les Israélites sont restés assoiffés dans leur quête vaine. Ils n’ont gardé que leurs citernes brisées, c’est-à-dire tous les problèmes et les difficultés causés par leurs péchés. Salomon, la personne la plus riche et la plus prospère de toute l’histoire, a décrit, de façon magistrale, la poursuite qu’il a entreprise pour étancher sa soif.

Des gens assoiffés dans une mer de mauvaise eau

Cela s’applique également à nous aujourd’hui, en cette ère de richesse, de divertissement, d’épanouissement personnel et de plaisir. La société moderne est de loin la plus riche, la mieux éduquée, la plus voyageuse, la plus divertissante, la plus axée sur le bonheur et la plus avancée sur le plan technologique de toutes les époques. Nous nous tournons facilement vers ces éléments et d’autres choses de notre époque. Notamment la pornographie, les relations illicites, les drogues, l’alcool, la cupidité, l’argent, la colère, la jalousie. Nous espérons qu’ils pourront peut-être satisfaire notre soif. Mais comme la mer Morte est un mirage, qui ne contient que de la mort stérile même si elle apparaît de loin comme de l’eau douce, ce sont aussi des mirages. Ils ne peuvent étancher la soif de manière durable et n’aboutissent qu’à la mort.

L’avertissement de Jérémie et les chroniques de Salomon devraient nous inciter à nous poser des questions honnêtes.

• Pourquoi, à notre époque moderne où tout est possible, sommes-nous confrontés à la dépression, au suicide, à l’obésité, au divorce, à la jalousie, à l’envie, à la haine et à la pornographie ?
• Quelles “sources d’eau” utilisez-vous pour étancher votre soif ? Contiennent-elles réellement de “l’eau” ?
• Pensez-vous que vous en aurez jamais assez pour étancher votre soif ? Si la soif de Salomon n’a pas pu être étanchée avec tout ce qu’il a obtenu, comment le pourrez-vous ?

Jésus a enseigné sur ces mêmes questions, promettant d’étancher notre soif. Il l’a fait en prétendant représenter Israël, avec notre conclusion ici. Sa promesse concernant l’eau est particulièrement remarquable lorsque nous constatons que la nation d’Israël est à la tête du monde en matière de technologie de l’eau. Les deux Israël offrent de l’eau, bien que de nature différente, à un monde assoiffé.

Israël offre de l’eau en abondance au monde

En raison de leurs conditions arides, les Israéliens ont dû devenir des leaders mondiaux dans le domaine des technologies de l’eau, essentielles à leur survie nationale. Ils ont développé et construit des usines de dessalement d’eau par osmose inverse à l’échelle industrielle et à la pointe du progrès mondial, qui transforment l’eau de mer en eau potable. Cette technologie est économe en énergie et moins coûteuse que les autres méthodes de dessalement, qui consistent à évaporer l’eau. Israël possède cinq usines de dessalement de ce type qui lui fournissent une telle quantité d’eau potable qu’il peut désormais réapprovisionner la mer de Galilée en eau potable. Les pays du Moyen-Orient signent des accords avec Israël afin que cette technologie de l’eau soit développée pour eux.

Une autre technologie israélienne permet de produire de l’eau potable à partir de l’humidité de l’air. Ayant commencé par aider les armées à fournir de l’eau potable à leurs troupes, cette technologie a été étendue pour étancher la “soif mondiale”. Le constructeur automobile Ford a récemment ajouté cette technologie à certains de ses véhicules afin que vous puissiez boire un verre “en conduisant”. SodaStream, qui vend des cartouches de C02 avec des kits pour carboniser votre eau potable, est distribué dans le monde entier, ce qui vous permet de “faire pétiller votre eau”.

Cette terre aride, avec sa mer Morte, est devenue le leader mondial de l’étanchement de la soif dans le monde.

Israël offre de l’eau vivante au monde

Il est donc fascinant de constater que l’autre Israël, Jésus, offre lui aussi de l’eau – de l’eau vivante – au monde. Dans le contexte du diagnostic de Jérémie sur notre soif, considérons cette conversation rapportée dans l’Évangile.

Jésus parle avec une Samaritaine

Le Seigneur sut que les pharisiens avaient appris qu’il faisait et baptisait plus de disciples que Jean. ² Toutefois Jésus ne baptisait pas lui-même, mais c’étaient ses disciples. ³ Alors il quitta la Judée, et retourna en Galilée.

⁴ Comme il fallait qu’il passe par la Samarie, ⁵ il arriva dans une ville de Samarie, nommée Sychar, près du champ que Jacob avait donné à Joseph, son fils. ⁶ Là se trouvait le puits de Jacob. Jésus, fatigué du voyage, était assis au bord du puits. C’était environ la sixième heure.

⁷ Une femme de Samarie vint puiser de l’eau. Jésus lui dit: Donne-moi à boire. ⁸ Car ses disciples étaient allés à la ville pour acheter des vivres. ⁹ La femme samaritaine lui dit: Comment toi, qui es Juif, me demandes-tu à boire, à moi qui suis une femme samaritaine? – Les Juifs, en effet, n’ont pas de relations avec les Samaritains. – ¹⁰ Jésus lui répondit: Si tu connaissais le don de Dieu et qui est celui qui te dit: Donne-moi à boire! tu lui aurais toi-même demandé à boire, et il t’aurait donné de l’eau vive. ¹¹ Seigneur, lui dit la femme, tu n’as rien pour puiser, et le puits est profond; d’où aurais-tu donc cette eau vive? ¹² Es-tu plus grand que notre père Jacob, qui nous a donné ce puits, et qui en a bu lui-même, ainsi que ses fils et ses troupeaux? ¹³ Jésus lui répondit: Quiconque boit de cette eau aura encore soif; ¹⁴ mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. ¹⁵ La femme lui dit: Seigneur, donne-moi cette eau, afin que je n’aie plus soif, et que je ne vienne plus puiser ici. ¹⁶ Va, lui dit Jésus, appelle ton mari, et viens ici. ¹⁷ La femme répondit: Je n’ai point de mari. Jésus lui dit: Tu as eu raison de dire: Je n’ai point de mari. ¹⁸ Car tu as eu cinq maris, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari. En cela tu as dit vrai. ¹⁹ Seigneur, lui dit la femme, je vois que tu es prophète. ²⁰ Nos pères ont adoré sur cette montagne; et vous dites, vous, que le lieu où il faut adorer est à Jérusalem. ²¹ Femme, lui dit Jésus, crois-moi, l’heure vient où ce ne sera ni sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père. ²² Vous adorez ce que vous ne connaissez pas; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs. ²³ Mais l’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. ²⁴ Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité. ²⁵ La femme lui dit: Je sais que le Messie doit venir (celui qu’on appelle Christ); quand il sera venu, il nous annoncera toutes choses. ²⁶ Jésus lui dit: Je le suis, moi qui te parle.

²⁷ Là-dessus arrivèrent ses disciples, qui furent étonnés de ce qu’il parlait avec une femme. Toutefois aucun ne dit: Que demandes-tu? ou: De quoi parles-tu avec elle? ²⁸ Alors la femme, ayant laissé sa cruche, s’en alla dans la ville, et dit aux gens: ²⁹ Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait; ne serait-ce point le Christ? ³⁰ Ils sortirent de la ville, et ils vinrent vers lui.

³¹ Pendant ce temps, les disciples le pressaient de manger, disant: Rabbi, mange. ³² Mais il leur dit: J’ai à manger une nourriture que vous ne connaissez pas. ³³ Les disciples se disaient donc les uns aux autres: Quelqu’un lui aurait-il apporté à manger? ³⁴ Jésus leur dit: Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son œuvre. ³⁵ Ne dites-vous pas qu’il y a encore quatre mois jusqu’à la moisson? Voici, je vous le dis, levez les yeux, et regardez les champs qui déjà blanchissent pour la moisson. ³⁶ Celui qui moissonne reçoit un salaire, et amasse des fruits pour la vie éternelle, afin que celui qui sème et celui qui moissonne se réjouissent ensemble. ³⁷ Car en ceci ce qu’on dit est vrai: L’un sème, et l’autre moissonne. ³⁸ Je vous ai envoyés moissonner où vous n’avez pas travaillé; d’autres ont travaillé, et vous êtes entrés dans leur travail.

³⁹ Plusieurs Samaritains de cette ville crurent en Jésus à cause de cette déclaration formelle de la femme: Il m’a dit tout ce que j’ai fait. ⁴⁰ Aussi, quand les Samaritains vinrent le trouver, ils le prièrent de rester auprès d’eux. Et il resta là deux jours. ⁴¹ Un beaucoup plus grand nombre crurent à cause de sa parole; ⁴² et ils disaient à la femme: Ce n’est plus à cause de ce que tu as dit que nous croyons; car nous l’avons entendu nous-mêmes, et nous savons qu’il est vraiment le Sauveur du monde.

Jean 4 : 1-42

Jésus lui a demandé à boire pour deux raisons. Premièrement, il avait soif. Mais il savait aussi qu’elle avait soif selon le diagnostic de Jérémie. Elle pensait pouvoir satisfaire cette soif en ayant des relations avec des hommes. Elle avait donc eu plusieurs maris et était avec un homme qui était son mari. Ses voisins la considéraient donc comme immorale. Cela explique pourquoi elle est allée seule chercher de l’eau à midi. Les femmes du village ne voulaient pas qu’elle les accompagne lorsqu’elles allaient au puits dans la fraîcheur du matin et s’étaient mises à l’écart des autres femmes du village.

Suivant l’exemple de Jérémie, Jésus a utilisé le thème de la soif pour qu’elle se rende compte qu’elle avait une soif profonde dans sa vie – une soif qui est étanchée. Il lui a déclaré (ainsi qu’à nous) qu’il était le seul à pouvoir étancher sa soif intérieure.

Croire – Confesser dans la vérité

Mais l’offre d'”eau vivante” de Jésus l’a plongée dans une crise. Lorsque Jésus lui a dit d’aller chercher son mari, il l’a délibérément poussée à reconnaître et à admettre que sa source d’eau était brisée. Il l’a poussée à la confesser. Nous évitons cela à tout prix ! Nous préférons cacher nos péchés, en espérant que personne ne les verra. Mais si nous voulons faire l’expérience de l’eau vivante, nous devons être honnêtes et admettre nos péchés, car l’Évangile nous le promet :

¹⁹ Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés,

Actes 3 : 19

C’est pourquoi Jésus a dit à la Samaritaine que..

²⁴ Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité.

Jean 4 : 24

Par “vérité”, il entendait le fait de dire la vérité sur nous-mêmes, de ne pas essayer de cacher ou d’excuser nos fautes. La merveilleuse nouvelle, c’est que Dieu cherche et ne repousse pas quiconque venant avec cette honnêteté ouverte – peu importe ce qu’il a bu.

La distraction des arguments religieux

Mais cela exige une vulnérabilité honnête. Changer le sujet de nous-mêmes à un conflit religieux crée une couverture parfaite pour se cacher. Le monde connaît toujours de nombreuses querelles religieuses. En ce temps-là, il y avait un conflit religieux entre les Samaritains et les Juifs concernant le lieu de prière approprié. En tournant la conversation vers ce conflit religieux, elle espérait détourner l’attention de sa citerne qui coulait. Elle pouvait désormais cacher sa vulnérabilité derrière la religion.

Comme il est facile et naturel de faire la même chose – surtout si nous avons une affiliation religieuse. Nous pouvons alors juger que les autres ont tort ou que nous avons raison. Nous pouvons ignorer notre besoin d’être honnêtes à propos de notre soif.

Jésus n’est pas entré dans cette dispute avec elle. Il a insisté sur le fait que ce qui comptait, c’était l’honnêteté avec laquelle elle se présentait dans la prière. Elle pouvait se présenter devant Dieu n’importe où (puisqu’Il est un Esprit). Mais elle avait besoin de se réaliser honnêtement avant de recevoir son “eau vivante”.

La décision que nous devons tous prendre

Elle avait donc une décision importante à prendre. Elle pouvait continuer à se cacher derrière une querelle religieuse ou peut-être simplement le quitter. Mais elle a finalement choisi d’admettre sa soif – de se confesser. Elle ne s’est plus cachée. Ce faisant, elle est devenue “croyante”. Elle avait déjà célébré des cérémonies religieuses auparavant. Mais aujourd’hui, elle – et les habitants de son village – sont devenus des “croyants”.

Devenir croyant, ce n’est pas simplement être mentalement d’accord avec une doctrine religieuse correcte, même si c’est important. Il s’agit de croire que l’on peut se fier à sa promesse de miséricorde et qu’il n’y a donc plus lieu de dissimuler le péché. C’est ce qu’Abraham a fait il y a si longtemps : il s’est fié à une promesse.

Les questions à se poser en toute vulnérabilité

Excusez-vous ou cachez-vous votre soif ? La cachez-vous par une pratique religieuse dévote ou une dispute religieuse ? Ou la confessez-vous ? Qu’est-ce qui vous empêche de confesser devant notre Créateur les citernes brisées qui vous causent de la culpabilité et de la honte ?

L’ouverture honnête de la femme à son besoin l’a amenée à comprendre que Jésus était le “Messie”. Après son séjour de deux jours, les villageois ont compris qu’il était “le Sauveur du monde”. Ils ont compris que Jésus, qui leur avait donné de l’eau vivante, devait aussi être le Seigneur Dieu, parce qu’il était écrit :

¹³ Toi qui es l’espérance d’Israël, ô Eternel!
Tous ceux qui t’abandonnent seront confondus.
Ceux qui se détournent de moi seront inscrits sur la terre,
Car ils abandonnent la source d’eau vive, l’Eternel.

Jérémie 17 : 13

Post-scriptum – La mer morte va reprendre vie

Jésus promet d’étancher notre soif intérieure avec de l’eau vivante aujourd’hui. De même, la Bible promet qu’un jour, la mer Morte, cette image omniprésente de notre condition spirituelle morte, va…

⁸ Il me dit: Cette eau coulera vers le district oriental, descendra dans la plaine, et entrera dans la mer; lorsqu’elle se sera jetée dans la mer, les eaux de la mer deviendront saines. ⁹ Tout être vivant qui se meut vivra partout où le torrent coulera, et il y aura une grande quantité de poissons; car là où cette eau arrivera, les eaux deviendront saines, et tout vivra partout où parviendra le torrent. ¹⁰ Des pêcheurs se tiendront sur ses bords; depuis En-Guédi jusqu’à En-Eglaïm, on étendra les filets; il y aura des poissons de diverses espèces, comme les poissons de la grande mer, et ils seront très nombreux.

Ézéchiel 47 : 8-10

Cela se produira lorsque

⁸ En ce jour-là, des eaux vives sortiront de Jérusalem,
Et couleront moitié vers la mer orientale,
Moitié vers la mer occidentale;
Il en sera ainsi été et hiver.
⁹ L’Eternel sera roi de toute la terre;
En ce jour-là, l’Eternel sera le seul Eternel,
Et son nom sera le seul nom.

Zacharie 14 : 8-9

La Bible prévoit que le Christ reviendra. Lorsqu’il reviendra, dans son Royaume, il transformera la mer Morte en une mer grouillante de vie. L’image de la mort stérile n’aura plus lieu d’être. La mer Morte représentera fidèlement l’eau vivante qui jaillira des deux Israëls, à la fois la nation et son Messie.

Ensuite, nous voyons Jésus enseigner sur l’investissement, et il le fait avec des convictions contradictoires.